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Série anniversaire – 1970 : Naissance des SCPI – Quand l’immobilier devient un placement collectif.

Cette année, l’Association française des Sociétés de Placement Immobilier (ASPIM) fête son 50e anniversaire.  Un demi-siècle d’engagement aux côtés des acteurs de l’investissement immobilier non coté, avec une priorité constante : servir l’intérêt des épargnants. À cette occasion, l’ASPIM met en lumière la contribution économique, sociale et sociétale du secteur, à travers une série de contenus dédiés.

Aujourd’hui, découvrez un article consacré à l’histoire des SCPI.

50 ans d’histoire de la pierre-papier

Dans les années 60, accéder à l’investissement immobilier était hors de portée pour beaucoup. C’est pour répondre à cette réalité que naissent les premières « civiles foncières », ancêtres des SCPI, avec une promesse forte : rendre la pierre accessible à tous.

En 1970, une loi vient encadrer officiellement ce nouveau véhicule d’investissement collectif. Elle permet aux épargnants de devenir copropriétaires de bureaux, commerces ou logements… à partir de quelques centaines de francs.

Le succès est progressif, freiné par les premières crises, mais porté par une idée simple et protectrice : mutualiser les risques pour investir plus sereinement.

Les temps forts du marché

  • Années 90 : la crise immobilière frappe fort — baisse des prix, blocage des reventes.
  • 2001 : l’abandon du « prix conseillé » et l’arrivée des SCPI à capital variable relancent le marché.

Années 2010 : modernisation et diversification

Diversification géographique, nouvelles classes d’actifs (santé, logistique, résidentiel, digitalisation…) : le modèle s’adapte et séduit une nouvelle génération d’épargnants.

+200 % en 10 ans : de 30 à 90 milliards d’euros d’encours entre 2013 et 2023.
Les SCPI deviennent un pilier incontournable de l’épargne immobilière, jusqu’à intégrer les contrats d’assurance-vie.

L’ASPIM, acteur de référence

Depuis 50 ans, l’ASPIM accompagne cette transformation, pour continuer à répondre à l’évolution des besoins des épargnants d’aujourd’hui.

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